OUI...IL EST IMPORTANT DE SAVOIR JOUER
MAIS , L'ESSENTIEL, C'EST...
................................. DE SAVOIR GAGNER

Dostoïevski un livre qui parle de la vie du joueur qu’il était…036

D- DOSTOÏEVSKI QUI ÉTAIT DU NOMBRE DES JOUEURS

Je ne sais pas si vous avez lu le “Joueur” de Dostoïevski ? Mais pour ceux qui aime le monde du jeu et veule se situer dans la mentalité du début des grands casinos. C’est un livre intéressant et qui démontre bien le début des casinos et les tourments du joueur. Et Dostoïevski a souffert énormément du jeu. Ce livre est sa propre bibliographie.

Dostoïevski

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Il y a des gagnants au casino et pas seulement des gagnants professionnels. Il est certain que l’on remarque surtout ceux qui font le plus d’éclats, soit parce qu’ils possèdent bien l’art de jouer ou font des conférences ou soit parce qu’ils écrivent des livres ou des articles. Mais il y en a d’autres qui ont bien compris qui est leur adversaire et, en conséquence, quel est le défi qui les attend. Comment lentement survivre dans ce milieu, se faufiler dans ce monde qui confond même les plus grands mathématiciens, les plus grands informaticiens, sans oublier aussi les plus fortunés.

Dostoïevski

Dostoïevski

Jouer, comme dans toutes les autres sphères de la vie touchant l’argent, est une profession et selon le degré de réussite que l’on cherche à atteindre, il faut travailler cette profession et la guider vers la réussite recherchée. La seule différence avec les autres sphères de la vie se situe dans le fait que la vie permet de faire beaucoup d’erreurs, sans toutefois aucune punition. Mais au jeu, tout est instantané et ton portefeuille est le premier à en prendre conscience.

Dostoïevski aimait le jeu de roulette et pour ceux qui ont vraiment joué il exprime parfaitement les limites du jeux et ses conséquences sans oublier les tourments et les supplices d’attentes et d’espoir interminable que tous joueurs ressent en certaine période car de toute évidence pour savoir gagner il faut savoir perdre

Le joueur… le casino est un endroit ou on peu aussi bien entendre un cri de joie intense qu’un crie de désespoir et d’horreur humaine…

Dostoïevski

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