Tendances des tables de jeux au casino… pourquoi ne pas commencer à l’apprivoiser
TENDANCES À RESPECTER…On dit qu’il faut toujours respecter la tendance. On entend ça très souvent. Pourquoi puisque l’on joue à une chance sur deux, y a-t-il autant de chances que si notre jeux est rouge et noir, que le noir ou le rouge sorte. Alors pourquoi se casser la tête à respecter Madame la Tendance ?
C’est un fait que personne ne peut prédire la sortie suivante et qu’il a une chance sur deux d’arriver. Mais prenons-le sur un autre côté. Le tableau de roulette nous montre 3 rouge successifs et je veux miser sur la prochaine sortie. Les statistiques nous disent que noir est plus probable d’arriver que rouge, donc on devrait jouer noir, pourquoi ?
C’est ce que beaucoup de personnes feront. Moi, je dis oui, si par la suite mon objectif est d’arrêter. Donc, je joue un seul coup. Pourquoi ne pas favoriser celui l’événement qui est le plus probable d’arriver? Sauf que 2 choses se produisent et compliquent ainsi la logique de base.
Faire des gains au Casino
1- Il y a cette chose que l’on appelle les tendances. Ce qui veut dire que les événements ont l’habitude de se regrouper et de se reproduire ensuite plusieurs fois.
2- Si je joue noir et qu’un autre rouge sort dans la même ordre d’idée, je dirai,???? si le coup précédent, j’étais favori à ce coup-ci. Je le suis encore plus, donc je vais miser plus et rattraper ma mise. Et ça croyez-moi, ça peut assommer son homme car à ce jeu, on peut faire plusieurs mises successives et ne pas gagner. Par contre, si je suis la tendance et que le rouge sorte encore plusieurs fois, je peux gagner plusieurs coups avec un seul risque, soit celui de perdre une unité.
Par contre, si j’ai essayé de battre la tendance et surtout, si j’ai doublé mes mises pour rattraper mes pertes, alors là, ça va peut-être mal car même si j’ai peut-être gagné, mes émotions ont doublé et triplé et ça, ça peut déranger mon jeux sur les prochains coups car les émotions et les pertes sont de bons amis, mais de très mauvais juges.